Asher-Smith s’est hissée au milieu de la course de mardi avec une crampe au mollet et a terminé dernière. La coureuse de 26 ans est retournée à l’action plus tard dans la semaine pour se qualifier pour la finale du 200 m de vendredi.
« Ouais, des problèmes de filles » a déclaré Asher-Smith aux médias britanniques. « C’est quelque chose que plus de gens doivent étudier du point de vue des sciences du sport parce que c’est absolument énorme ».
« Les femmes n’en parlent pas non plus. Nous voyons que les filles qui ont été constantes ont une baisse aléatoire. Dans les coulisses, elles éprouvent vraiment des difficultés, alors que tout le monde se demande : « Qu’est-ce que c’est ? C’est aléatoire ». Nous avons simplement besoin de plus de financement.
« J’ai l’impression que si c’était un problème d’hommes, il y aurait un million de façons différentes de combattre les choses. Mais dans le cas des femmes, il faut simplement plus de financement dans ce domaine. »
Iga Swiatek, numéro un mondial du tennis, a également abordé la question lors de l’Open de France (Roland Garros) de cette année, affirmant que les progrès de la médecine et de la technologie peuvent apporter des solutions aux athlètes féminines.
La golfeuse néo-zélandaise numéro quatre mondiale Lydia Ko a été saluée en ligne lors du Championnat Palos Verdes plus tôt cette année après avoir ouvertement discuté de ses problèmes de dos durant un tournoi causé par ses règles.
Source : Reuters
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