Disclaimer ⚠️
Je tiens à préciser que cet article sort conjointement avec un volet de ma série “Daily News” qui sort également sur Instagram chaque soir. Il s’agit ici de l’explication de ma news majeure de la journée, pour suivre le reste des news et participer au sondage (en story), je vous invite à rejoindre le reste de la communauté sur Instagram en cliquant sur le lien suivant : Fisko James instagram.
Les tensions diplomatiques entre la Chine et Taïwan sont montées d’un cran ces derniers jours, notamment en raison de la menace militaire chinoise.
Nous savons que depuis la proclamation de la République Populaire de Chine par les communistes le 1er octobre 1949, les nationalistes ont dû être contraint de se réfugier sur l’île de Taïwan. Néanmoins, même si la Chine a récupéré le siège de Taïwan à l’ONU en 1971, cette petite île située au sud-est de la Chine reste encore dans le viseur des Chinois, et notamment dans celui de Xi Jinping (à gauche) qui la considère comme une province chinoise rebelle. Allant ainsi à l’encontre de ce que considère la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen (à droite) du partie démocrate progressiste.
Les tensions ont repris il y a quelques jours en raison du défilé militaire de la Chine le 1er octobre, en effet, les Chinois en ont profité pour faire voler dans la zone de défense aérienne taïwanaise environ 150 avions militaires en quelques jours dont 56 rien que lundi, un record depuis l’arrivée de Xi Jinping en 2012. Les États-Unis ont dénoncé des « provocations militaires » de la Chine. Mais la Chine ne s’en est pas arrêtée là, elle a affirmé être en capacité de pouvoir envahir Taïwan d’ici 2025, ce dont à quoi la présidente taïwanaise a répondu que cela conduirait à des « conséquences catastrophiques ».
Sources : Sud Ouest / The Guardian / Courrier International